Arthur Jugnot met en scène avec célérité le texte du médecin généraliste devenu romancier, Baptiste Beaulieu : Alors voilà ! Les 1001 vies des urgences. Donnant à voir un être généreux profondément humain. Qui met du baume au cœur. Des patients et du public. « Tout est vrai », prévient Axel Auriant, le fabuleux comédien qui lui prête sa bouille angélique et sa dégaine. Le Figaro
Pour rire et oublier jusqu’à la dernière seconde. Un spectacle assez inattendu, à la fois potache et sensible, poétique et quotidien, dans la mesure où, est-il rappelé, la maladie, la vieillesse, la mort concernent tout à chacun. Il s’agit alors de tenir le spectacle sur ce fil, et le pari est réussi. L’Humanité
Terrible et drôle plongée dans l’hôpital.
C’est une belle célébration, humaine mais aussi politique, de l’hôpital, de l’art de la médecine. Les faits rapportés sont durs souvent, éprouvants. Pourtant, il y a de la joie, de la vitalité et donc du rire dans ce spectacle, et les talents engagés sont remarquables. Le Quotidien du Médecin
Le comédien de 21 ans est seul sur scène et livre une prestation bourrée de modernité et parfaitement maîtrisée. Il parvient à jongler entre les personnages (et les instruments de musique) avec une facilité déconcertante. Si les jours défilent à l’hôpital, il nous embarque hors du temps, où rires et larmes s’entremêlent parfaitement. À la fin du spectacle le public est conquis, et nous aussi. ELLE
On est happé par ce récit vibrant d’humanité. Cette relation d’amitié bouleversante entre l’interne et la mourante. À la fin du spectacle, le public est debout. Allez-y, vous comprendrez pourquoi. Le Progrès
Une pièce furieusement d’actualité ! La Provence
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